28 ans, Lyon
Alexandre a 28 ans et a effectué l’entièreté de ses études postbac en alternance. C’est à l’issue d’un Bachelor Responsable du Développement Commercial à l’IPAC qu’il rejoint notre école de management dans le cadre du MBA Commerce et Entrepreneuriat. Aujourd’hui conseiller clientèle à la Société Générale, Alexandre a accepté de nous accorder du temps pour revenir sur sa formation chez MBway Lyon.
Voici son témoignage.
SON PARCOURS
Après l’obtention de son baccalauréat, Alexandre s’oriente sur un BTS Management des Unités Commerciales en alternance chez Orange. Il effectue ensuite un Bachelor Responsable du Développement Commercial à l’IPAC en alternance au Crédit Mutuel. Il termine ses études avec notre MBA Commerce et Entrepreneuriat en alternance chez MSA Safety la première année, et à la SNCF la deuxième année.
A l’obtention de son MBA en 2020, Alexandre alterne entre petits boulots et missions d’Interim jusqu’en mars 2021. Il quitte ensuite son poste au Crédit Agricole pour une belle opportunité de travail en Afrique.
« J’ai eu l’opportunité de partir au Cameroun pour gérer un restaurant de 25 personnes. Il y avait la partie événementielle, commerciale, et administrative / gestion des stocks. C’était une super expérience, très formatrice. »
A PROPOS DE MBWAY LYON
« J’ai vraiment apprécié la formation Commerce et Entrepreneuriat, elle était très variée. On touchait vraiment à tout, pour avoir des bases solides. La proximité avec les formateurs et l’équipe pédagogique était vraiment agréable.
La première année, j’étais Assistant Marketing sur les produits de protection balistique (gendarmerie, police militaire) à MSA Safety. J’organisais des shootings photos, des salons, dont le Milipole de Paris. Le siège de cette société étant aux Etats-Unis, il y a eu une réorientation des budgets, et il n’y a plus eu de missions sur le pôle de protection balistique.
J’ai donc changé en cours d’année pour la SNCF. J’étais dans la cellule service qui travaille sur l’amélioration de l’expérience client et digital pour les agents. J’occupais le poste de Chargé de Projet : c’était hyper intéressant. De mes 5 années d’alternance, c’était de loin la meilleure : j’étais managé par un responsable génial qui m’a laissé carte blanche pour mener à bien mes projets. Je pouvais mettre en application ce que je voyais en cours dans mon travail. »
Avec du recul, que retiens-tu de ces années ?
« La simplicité et de la proximité. Mon meilleur souvenir, c’était mon implication au sein du BDE - pôle soirée. On a organisé une soirée d’intégration au Chamrock, qui était vraiment mémorable. »
Quel regard portes-tu sur l’alternance ?
« J’ai découvert de l’alternance quand j’ai voulu reprendre mes études en 2014. Le concept d’être payé en faisant ses études m’a séduit. C’est une vraie opportunité avec de l’expérience professionnelle à la clé. Sortir d’une école à bac+5 sans connaître le monde de l’entreprise, c’est compliqué d’être opérationnel. L’alternance permet ça. »
AUJOURD’HUI…
« Je suis ensuite rentré en France en avril 2022 et j’ai trouvé un poste de Conseiller Clientèle à la Société Générale à Lille. Ce qui me plait beaucoup, c’est le fait que la Société Générale mise sur l’interne pour trouver les talents et favorise la mobilité interne. Ainsi, en tant que grande entreprise, elle nous offre la possibilité d’être mobile nationalement et internationalement.
De plus, le secteur bancaire est complexe et donne de nombreuses possibilités d’évolution. Pour le moment, je suis conseiller clientèle en plateforme téléphonique, ce qui consiste à réceptionner les appels clients, les ventes de crédits et d’assurances, et de traiter des demandes entrantes. L’ambiance est agréable et vivante sur le plateau. »
… ET APRES
« J’envisage de me spécialiser en tant que conseiller pour les professionnels voir sur les questions de patrimoine. Dans un futur à moyen terme, je compte retourner en Afrique : au Careroum, à Djibouti, en Côte d’Ivoire, à Madagascar, voir à la Réunion ou sur l’Ile Maurice. Mon objectif est très clair : ne pas rester en place. J’ai déménagé 17 ou 18 fois dans mon enfance, mes parents étaient très mobiles et m’ont transmis ce goût de la « bougeotte » et de l’international. »